Par Jonel Juste
Haïti, un pays à fort taux d’analphabétisme (répète-t-on souvent), est un pourtant un véritable vivier d’écrivains. Ce que plus d’un considèrent comme un paradoxe. Beaucoup d’écrits mais peu de lus, croirait-on. Et pourtant la littérature haïtienne est l’une des plus florissantes dans le monde. Comment les auteurs haïtiens vivent-ils ce paradoxe. Les écrivains Gary Victor, Yanick Lahens et Edwige Danticat ont pu répondre à cette douloureuse question qui leur a été posée dans le cadre de la 33e édition de la Foire du livre de Miami par la présidente de la FOKAL (Fondasyon Konesans ak Libète), Michèle Pierre-Louis. La foire s’était déroulée du 18 au 20 novembre 2016 à Miami-Dade College. Regardez la vidéo ci-dessous.